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Sujet: LES FAMILLES Dim 3 Mar - 23:01 | |
| IL A LE FEU AUX FESSES
▲ Type : Bestiole Innommable ▲ Crédit(s) : Bazzart | Tumblr Messages : 161 Here since : 25/02/2013
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Formulaire par Delilah Gif ou image par TUMBLR Merci de respecter notre travail et de ne pas vous approprier nos productions. LES 7 FAMILLES “It's in the cards.” Les Familles sont à la fois les représentantes de Salem et du monde sorcier. Tous les sorciers américains ont au moins une fois entendu parler d'elles, des légendes qui les entourent. D'ailleurs sont rares sont ceux qui ne connaissent l'histoire à leur origine. Malgré leurs différences et leurs caractéristiques qui leur sont propres, elles sont bel et bien liées par quelque chose. Chacune possédant un symbole, et étant toute unies par un pacte. Les individus que l'on caractérisent comme appartenant à ce que l'on appelle "branche primaire" sont les membres en ligne directe d'une des familles. Ils résident principalement à Salem et/ou descendant du fondateur de la famille. La branche secondaire concerne ceux ne portant pas le même nom que la branche principale. (Il peut s'agir des cousins lointains etc...)
La branche tertiaire rassemble tout ceux ayant un quelconque lien (plus ou moins proche ou lointain) avec la famille en question. Bien entendu chacune à ses propres caractéristiques. Pour en savoir un peu plus, il suffit de jeter un coup d’œil à l'histoire, au conte, désormais bien connu qui unit celle-ci. Peu différent du conte des trois frères, l'histoire des 7 est désormais l'une des histoires les plus renommées du monde sorcier américain, même si on en garde encore quelques traces, en Europe c'est un véritable enjeu à Salem. On ne peut pas prêter caractére ou compétences semblables à tous les membres de chaque famille, mais on peut retrouver d'un individu à l'autre, certaines similarités. La famille, que voulez-vous.
Jamais le seul hasard aurait amené ces sept familles antérieurement uni par un conte, une fable, à Salem, voir aux États-Unis. Si celles-ci ont depuis toujours résidé à Salem c'est parce qu'elles en sont l'histoire, et que leur implication dans les procès de Salem, dans la construction de la ville n'est pas aussi simple que certains pourraient le croire.
C'était il y a plusieurs siècles. L'histoire débute à l'entrée d'un petit village à l'est de Gippelwich. Une voyageuse, nomade, une vielle voyante, fatiguée et épuisée d'une longue marche qui était bien loin d'être terminée. De village en village, au travers le comté, la pauvre hère marchait sans cesse. Ses seules, maigres possessions étaient un vieux bâton, ses vieilles frusques, un châle, et une petite besace de cuir. Il y avait présent dans cette vielle région, sept vielles bâtisses chacune dans un hameau, habitée par une vielle famille qui régnait sur celui-ci. Ceux-ci, comme chaque foyer du pays, étaient tenus de respecter une règle, presque ancestrale, l'accueil du Voyageur. Que celui ci qui se présenterait devant leur porte recevrait ce qu'il demanderait. Serrant son léger châle contre elle, ses pas la menèrent à la première porte de la première maison. Elle demanda un peu d'eau. On lui accorda.
Ses pas la menèrent à la seconde famille. "S'il vous plait, messires. Mon vieux dos me fait souffrir, si vous daignerez m'offrir un gîte pour une nuit, vous sauverez une vielle dame d'un malheur bien certain." Les Wardwell, humbles et protecteurs, et pour lesquels la sécurité du foyer, étaient les plus importants acceptèrent, offrant un toit à celle ci. Le lendemain matin, en récompense, celle ci tira de sa besace une petite boite en bois grossièrement taillé, en sortie un paquet duquel elle tira, par le hasard du destin, une carte rectangulaire, aux couleurs vives. Sur le pas de la porte, elle déposa la Justice. Elle leur promis la sagesse et le don de toujours pouvoir rendre la justice. Le troisième jour, la voyante alla frapper à la troisième demeure, elle frappa à la porte. "S'il vous plait messire. Mes vieux sabots me font souffrir, si vous daignerez offrir une paire de sandales, vous sauverez une vielle dame d'un malheur bien certain." Ceux ci acceptèrent.
Elle tira du petite paquet une carte, et déposa celle ci sur le pas de la porte le Pendu. Deux jours passèrent, et elle arriva à la quatrième maison, une battisse luxueuse et distinguée. Elle frappa trois coups, on lui ouvrit. "S'il vous plait, messires. Mes poches sont troués, et à par ces vêtements que j'ai sur mon dos, bien maigre possession, je n'ai rien. Si vous daignerez m'offrir trois sous d'argent, vous sauverez une vielle dame d'un malheur bien certain." Les Bishop pour lesquels les richesses étaient les plus importantes, rechignèrent mais l'accueil était le plus important. Ils l’accordèrent et sur le petite escalier de pierre elle posa la Roue. Le jour suivant, elle s'arrêta, fut reçu. Les Wynott reçurent la promesse des joies et les rires, ainsi que le talent de toujours divertir leur entourage et savoir créer de nouvelles choses. A la dernière maison, la vielle femme tapa trois coups.
Le dernier hameau, presque à la frontière du prochain comté. Nul hasard l'avait amené en ces lieux. Une raison bien précise, les chuchotements allaient bon train dans la région. La petite bâtisse était sobre, distinguée, et du première étage s'élevait un léger et gracieux chant. On lui ouvrit. "S'il vous plait, messires. Mon âge avancé m'a amené à bien des voyages, à voir bien des choses, si vous daignerez m'offrir un chant, car il me semble bien avoir ouie le doux son de la voix d'une gente demoiselle d'ici. Vous sauverez une vielle dame d'un malheur bien certain, en réchauffant son tendre cœur par telle distraction, et lui offrirait plus qu'une poignée de sous d'or." Mains tendus, tête incliné, l'homme (Le plus effrayant de la région) secoua la tête, et d'un geste de mépris non dissimulé, congédia la vielle dame. "Nul vagabond n'obtiendra rien de nous." La dame leva un regard profond sur le visage de l'homme qui la congédia brusquement.
Le voyage de la vielle dame touchait presque à sa fin. Elle ne jura, ni cracha. "Messire, si mon voyage m'a amené ici, si j'ai frappé de trois coups à chaque demeure qui croisait mon chemin, ce n'est ni l'envie de richesse, ni le destin. Je vous ai demandé le doux chant car les rumeurs au sein du pays disait que je reconnaitrais chez le seul être qui refuserait l'hospitalité du Voyageur le coupable." Elle pointa d'un doigt accusateur l'homme qui se tenait dans l'encadrement de la fenêtre. "C'est votre dernière chance, messire."
Le sorcier fulminant jura avant de pousser la vielle dame à terre, du haut des escaliers. Elle tomba rudement sur la terre sèche. "Si vos récoltes sont mauvaises et si la pluie ne vient plus à vous c'est pour une bonne raison, n'apporter pas le malheur sur vous et les vôtres. Et rendez-la à moi." Il secoua. Négatif. Furieuse, la vielle dame se replia. Elle reviendrait.
C'est ce qu'elle fit le soir même, accompagné de personnes qui avaient entendu son malheur au delà des collines. A ses cotés, ils se battirent farouchement contre cet individu. La bataille se solda par la perte de la douce jeune fille. La fille de la voyageuse qui fut enlever par cet homme cruel, et qui était l'objet de sa quête. Se contenta de poser une unique carte jaunie sur le petit rebord de la porte. Le diable.
La voyante avait demandé un présent à la hauteur des possessions et des actes commit par chacune des familles, les fautives pourraient se racheter, les bienheureuses prouver leur réputation. Son voyage n'avait pourtant que le but de retrouver la famille qui lui avait arraché son bien le plus précieux, sa fille. Le fautif fut punit et amena une malédiction sur tout ses descendants.
Voici le conte qui est conté depuis le moyen-âge, on compte bien entendu une bonne dizaine de versions, mais voici la plus fidèle à celle d'origine. Il s'agit bien entendu d'un conte, d'une légende qui a voleter d'un pays à l'autre, à subit des transformations au cours des ans. Certains peuples disent que la voyante, loin de vouloir seulement tester les familles, cherchaient un coupable, celui qui aurait froidement tué sa fille et aurait maudit le coupable, le Mantion.
Les descendants se sont éparpillés aux quatre coins de l'Europe avant de se retrouver. Au 16 éme siècle, un représentant de chaque famille se dirigea vers le Nouveau Monde, descendant de chacun des personnages de la désormais si fameuse légende.
La Justice : Wardwell Le Pendu : Gedney Le Bateleur : Wynott L'amoureux : Withridge Le Monde : O'Gendrall Le Diable : Mantion
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Dernière édition par Le Bûcher le Lun 15 Avr - 11:59, édité 1 fois |
| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:38 | |
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| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:39 | |
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| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:40 | |
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| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:41 | |
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Dernière édition par Le Bûcher le Lun 15 Avr - 11:44, édité 1 fois |
| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:42 | |
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| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:43 | |
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| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:46 | |
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| | Sujet: Re: LES FAMILLES Lun 15 Avr - 11:51 | |
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| | Sujet: Re: LES FAMILLES | |
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